Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Festival Mawazine – Rythmes du Monde commence à lever le voile sur les têtes d’affiche de sa 20e édition, attendue du 20 au 28 juin 2025 à Rabat. Et le ton est donné avec l’annonce de trois figures majeures de la scène musicale mondiale : Will Smith, Kid Cudi et Salif Keita. D’autres têtes d’affiche suivront dans les prochains jours.
Trois artistes, trois univers, trois géants. En lançant sa tournée européenne à Mawazine, Will Smith star planétaire au palmarès impressionnant – quatre Grammy Awards, des milliards de streams, des tubes devenus cultes – signe son grand retour sur scène avec une performance XXL. Porté par la sortie de son nouvel album, l’artiste se réinvente et promet un show explosif le 25 juin prochain, taillé pour rassembler toutes les générations. Un moment fort à vivre entre amis ou en famille, et un coup de projecteur mondial sur le Maroc grâce à ses millions de followers.
Autre révélation de cette première annonce : Kid Cudi. Visionnaire du hip-hop contemporain, touche-à-tout génial entre Coachella, Netflix, Paris Fashion Week et comics à succès, Kid Cudi incarne la créativité à l’état brut. Il présentera à Rabat le 23 juin l’univers introspectif et planant de INSANO, son dernier album. Dix albums studio, plus de 22 millions de disques vendus et une influence culturelle incontestée : l’auteur de Day ’n’ Nite est aujourd’hui l’un des artistes les plus suivis et respectés de sa génération.
À leurs côtés, Salif Keita offrira un moment d’émotion intense le 27 juin. Figure emblématique de la musique africaine, la “Voix d’or” du Mali, cinq fois nommé aux Grammy Awards, incarne depuis plus de cinquante ans la richesse de l’afro pop. Avec des titres devenus cultes et une carrière marquée par l’innovation, il apportera à cette édition une profondeur musicale et humaine exceptionnelle.
Trois artistes, trois continents, une seule et même promesse, celle de faire vibrer Rabat au rythme d’une édition de Mawazine encore plus universelle que jamais. Et ce n’est qu’un début.