Marrakchie de naissance et enseignante de formation, Latifa R’kha Chaham, après une carrière dédiée à l’éducation de ses filles et à l’enseignement de l’arabe aux Marocains résidant à l’étranger, a renoué avec sa passion d’enfance pour l’écriture. Avec « Le Purgatoire des Exilés », elle se lance pour la première fois dans la langue de Molière.
Une immersion dans l’âme humaine
Latifa R’kha Chaham a toujours eu un penchant pour l’exploration des émotions et de l’âme humaine. Dans « Le Purgatoire des Exilés », elle y parvient avec une profondeur qui ne manquera pas de toucher le lecteur. Ses personnages sont à la fois universels et uniques, véhiculant des sentiments tels que la peur, l’angoisse et le doute, illustrant ainsi une quête universelle d’identité et de sens.
Du succès en arabe à la conquête du français
Après une série de romans à succès en arabe, Latifa R’kha Chaham a décidé de se lancer un nouveau défi : écrire en français. Cette transition marque une nouvelle étape dans sa carrière, élargissant son lectorat tout en lui permettant d’exprimer ses idées avec une nouvelle palette linguistique. C’est une initiative qui démontre sa polyvalence en tant qu’écrivain et sa volonté constante de croissance et d’innovation.
Présence remarquée au Salon international de l’édition et du livre (SIEL)
Latifa R’kha Chaham a été une des figures marquantes de la 28e édition du Salon international de l’édition et du livre (SIEL). Son premier roman en français a attiré beaucoup d’attention et de curiosité, démontrant ainsi l’importance de la diversité et de la représentation dans la littérature contemporaine. Avec des participants venant de 51 pays, le SIEL a permis à des auteurs comme Chaham de partager leurs œuvres avec un public international.
Latifa R’kha Chaham, auteure émérite, aux côtés de sa fille, Fatim-Zahra Ammor, Ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie Sociale et Solidaire, partageant un moment de fierté et d’émotion lors de la 28e édition du Salon international de l’édition et du livre (SIEL). Deux générations, un même esprit de résilience et d’innovation, reflétant l’éclat de la femme marocaine.