Il y a 25 ans, l’artiste lacérait, dans un mouvement qui peut s’apparenter à de l’automutilation, l’une de ses toiles, en réaction à un évènement douloureux. Cette œuvre détruite a longtemps poursuivi Fouad Bellamine. Elle a initié d’autres œuvres et une interrogation sur plusieurs séries anciennes. Une exposition où l’émotion est à fleur de toile.
Atelier 21, Casablanca, du 3 décembre au 13 janvier
