
La Galerie L’Atelier 21 à Casablanca accueille, du 30 septembre au 1er novembre 2025, l’exposition Résonances. À travers ses foules silencieuses et ses teintes suspendues, Nabil El Makhloufi explore l’exil, l’appartenance et la solitude universelle.
“Une peinture habitée par le silence, où la foule devient miroir de nos solitudes.”
Entre deux mondes
Né à Fès et formé à Leipzig, l’artiste vit entre deux cultures qui nourrissent sa peinture. Ses silhouettes anonymes, à la fois proches et lointaines, traduisent un sentiment d’entre-deux : celui des identités mouvantes et des émotions partagées.

La foule silencieuse
Chez El Makhloufi, la foule devient motif récurrent : un ensemble d’êtres rassemblés mais isolés, suspendus dans des espaces sans repères. Ce paradoxe du collectif solitaire révèle la tension entre lien social et solitude contemporaine.
Une portée internationale
Exposé dans des institutions comme la Sharjah Art Foundation, le MACAAL ou la Norval Foundation, l’artiste impose une signature picturale rare : une peinture méditative où le silence devient langage. À Casablanca, Résonances fait écho à nos propres quêtes d’identité et de sens.











