Questionnant la place de l’individu dans la société, les personnages dépeints par Nabil El Makhloufi imposent une présence fragile et menaçante. Le spectateur se retrouve souvent à imaginer l’avant et l’après de la scène figurée. La narration est en effet inhérente à l’œuvre de Nabil El Makhloufi mais garde toujours un côté mystérieux : chaque personnage, chaque scène étant une fenêtre ouverte sur autre chose.
Atelier 21, Casablanca, jusqu’au 8 juin