Les disputes et les chamailleries sont courantes à la maison, bien que ce soit tout à fait normal au sein d’une fratrie, on a parfois du mal à bien les gérer.
Voici tout ce qu’il faut savoir sur la gestion des disputes.
Êtes-vous sur le point de jeter l’éponge, car les chamailleries n’en finissent pas à la maison ? Quelquefois, ils en arrivent même à se battre comme des enfants des rues,
si vous n’intervenez pas.
Mais vous ne savez pas comment intervenir efficacement. Suivre les quelques conseils suivants peut vous aider à mieux gérer ces disputes.
Ne jamais prendre parti
Tout d’abord, sachez qu’il est totalement naturel que les frères et sœurs se disputent.
Des fois, cela peut être dû à une jalousie toute bête, mais cela peut aussi arriver quand ils s’ennuient. Mettez-vous toujours à la place d’un bon modérateur, quel que soit le sujet de la discorde, n’empruntez surtout pas le chemin du favoritisme.
De toute façon, il est toujours difficile de savoir qui ou quoi, est à l’origine du conflit. Il y en aura toujours un qui criera : ce n’est pas moi qui ai commencé ! Ou «c’est lui qui m’a pris ma doudoune !»…
Réprimandez-les ensemble et envoyez-les se calmer chacun dans son coin.
Trouvez de quoi occuper votre fratrie
Ce qu’il ne faut pas faire, c’est de rentrer, vous aussi, dans le jeu des cris. Soyez posé, ferme et carré, faites-leur comprendre, par vos yeux, que vous n’appréciez pas ce qui se passe.
Ensuite, trouvez de quoi les occuper chacun de leur côté pour qu’ils ne continuent pas à se voir et à se déchirer. Envoyez l’un ranger ses jouets, et l’autre faire ses lectures par exemple.
Ou l’autre devant son dessin animé préféré et l’autre écouter de la musique sur son iPad !
Un 3ème compagnon de jeu ?
Un troisième compagnon de jeu fera automatiquement office de modérateur, un cousin ou un camarade de l’école fera l’affaire. En outre, le frère et la sœur s’oublieront forcément à force d’être concentrés sur le petit compagnon commun.
Tout de même, soyez vigilant, puisqu’ils risqueraient aussi de se battre pour l’attention de celui-ci ! Dans la mesure du possible, essayez de composer des nombres pairs d’enfants, ce pour éviter le deux contre un.
